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4 idées sans lien que je vous partage

Pourquoi les membres d’une même famille finissent par ne plus s’entendre ?

En regardant autour de moi, je me rends compte que toutes les familles ont leurs problèmes, leurs non-dits, leurs histoires, leurs parts d’ombre, leurs rancœurs gravées dans le marbre etc. Pourquoi tant de haine ?

Les relations familiales sont imposées et non choisies

À la différence des amis, les membres d’une famille nous sont imposés. C’est la naissance qui conditionne l’existence même de ces relations. Et comme toute chose qui est subie, elle finit par devenir un fardeau. On a beau être de la même famille, partager le même sang et en quelque sorte la même culture, on n’en est pas moins différents, par nos caractères, nos goûts et notre sensibilité. Ces différences qui au départ créent un piquant savoureux entre les relations, deviennent à la longue des sources de dissensions, le temps ne faisant qu’accentuer ce gouffre.

Le sang n’est pas suffisant pour créer des liens forts

Chacun d’entre nous se définit par un patrimoine génétique, des valeurs, une manière de voir la vie, une relation au travail, à l’argent et bien d’autres choses. Notre ADN, bien qu’il conditionne une partie de notre comportement, il ne saurait à lui seul définir ce que nous sommes entièrement. Nous sommes bien plus un être de culture que de nature. À mesure que le temps passe, c’est la culture dans laquelle on baigne qui va nous façonner jusqu’à rendre les marques génétiques moins prégnantes sur la réalité de notre existence. Au bout du compte, les cellules de notre corps auront le pouvoir de nous influencer un temps, mais par la suite, ce sont nos choix et nos efforts qui nous définiront davantage.

Ce que nous détestons c’est cet autre soi

Il y a d’autre part quelque chose d’assez paradoxal lorsque l’on parle de relations humaines. Bien souvent, c’est soi que l’on hait chez l’autre. Les plus grandes disputes émergent souvent parce qu’on ne supporte par ce miroir qu’est autrui. Pour haïr, il faut en quelque sorte identifier quelque chose que l’on déteste chez quelqu’un. Pour l’identifier, il faut avoir un peu de cette chose pour qu’elle entre en résonance et éclate sous la forme d’une colère ou d’une haine. Quelqu’un qui ne ment jamais ne peut éprouver une haine viscérale pour les menteurs, c’est quelque chose d’étranger à lui. À l’inverse, quelqu’un qui ment de temps à autre peut se révolter contre les mensonges parce qu’ils lui rappellent ce qu’il est parfois. Le mensonge étant le souvenir insupportable de ce qu’il a été et ça, il ne peut le tolérer. Bien souvent, ce qu’on déteste donc, c’est cet autre soi qu’on souhaiterait oublier. La haine des autres procède souvent du désamour de soi. La famille, par les similitudes qu’elle engendre, est également le lien où se manifeste cette potentielle colère narcissique.

Les silencieux façonnent le monde

Un tonneau vide fait plus de bruit qu’un tonneau plein

Ceux qui s’agitent et font le vacarme partout où ils vont n’arrivent pas à modifier en profondeur les choses. Ils restent en surface. Leurs cris et scandales ne perturbent qu’un instant la tranquillité naturelle dans laquelle le monde est plongé. Si en apparence ils s’activent, on aurait tendance à surestimer leurs capacités et en même temps sous-estimer le potentiel de ceux qu’on n’entend guère.

Le silence fait résonner un écho bien plus grand

Une mer agitée est le résultat d’une perturbation, que ce soit celle produite par le vent ou les lames de fond. Une mer d’huile est le produit de l’absence de l’un de ces éléments. Il est bien plus dur de préserver une mer calme que de se laisser aller à l’agitation. Il en va de même de l’esprit humain. Si vous arrivez à faire le vide et à obtenir la paix intérieure, celle-ci est le fruit d’un combat gagné contre les éléments intempestifs. Un esprit serein est bien plus profond qu’un esprit houleux.
Si bien sûr on ne l’entend pas, la masse silencieuse et sereine est celle qui contribue véritablement à la stabilité du monde. Les esprits perturbés agissent comme le vent qui ride la surface des mers sans arriver à menacer la tranquillité des fonds marins.

Comment s’éduquer au XXIème siècle ?

Un nouveau siècle annonce un nouveau paradigme, celui de la décentralisation du savoir. Les manières d’apprendre ont jusqu’alors toujours été centralisées du fait de la technique et du rôle politique de l’éducation. Aujourd’hui, on peut apprendre de manière alternative du fait même que les technologies rendent cela possible. Si vous aspirez à apprendre au XXIème, il va falloir comprendre que le rôle de l’éducation ne sera plus de trouver un travail mais de se former pour devenir un membre actif du changement civilisationnel dont le premier pilier sera l’harmonie entre les hommes, la nature et le vivant. Les années qui s’annoncent s’apparentent à une équation à résoudre dont l’humain est la principale inconnue. C’est avant tout le niveau de conscience général des hommes qui conditionnera le niveau d’harmonie dans lequel nous vivrons. La terre n’est que le reflet de ce que les hommes ont bien voulu en faire, les personnes de pouvoir ayant bien sûr plus de poids sur le destin général de l’humanité. Beaucoup de pouvoir a été mis entre les mains de personnes qui ne prennent aucunement compte de l’harmonie dans leurs logiques de calcul. Ce n’est pas avec un plan comptable que l’on pourra engendrer un monde meilleur. Il faut un progrès moral et celui-ci s’accompagne d’une réelle empathie pour le vivant, c’est-à-dire tout ce qui peut éprouver de la souffrance.

Pour un monde nouveau, il faut un homme nouveau

Vous l’aurez compris, la clé du problème climatique réside dans la qualité morale des personnes qui peuplent la planète. Des personnes insensibles ne peuvent engendrer qu’un monde insensé. Si chacun prend l’engagement de s’améliorer de manière continuelle, on pourra voir une transformation spectaculaire du monde en l’espace d’une génération. Pour pouvoir influencer sur les mentalités, il faut pouvoir déjà appliquer sur soi ce que l’on voudrait voir se manifester en dehors de soi. Il n’y a pas de plus grand changement que celui qui se passe à l’intérieur. Si vous changez l’ampoule, vous changez la lumière. À l’échelle globale, on éduque les enfants par la peur ou la menace plus ou moins implicite. On étudie par peur du chômage ou de la précarité. C’est la nécessité qui nous pousse à faire des choix jusqu’à prendre conscience sur le tard – quand nous obtenons un peu de sécurité matérielle – que nous n’avons pas fait les meilleurs choix. Pour rêver d’un monde meilleur, il faut oser continuer à rêver. Ceci implique de ne pas éteindre cette flamme qui brûle chez l’enfant par une éducation rigide et dogmatique.

On ne peut pas résoudre un problème avec le même niveau de conscience qui l’a causé. Albert Einstein

La situation dans laquelle on se trouve est le fait des générations passées. On ne peut pas changer le cours de l’histoire si l’on reprend bêtement le même système d’enseignement qui l’a engendré. L’histoire ne fera que se répéter. Il faut donc briser la chaîne pour pouvoir sortir des sentiers battus.

Comment faire pour changer les choses si ce sont les adultes responsables du problème qui nous éduquent ?

C’est un éternel recommencement, les générations suivantes ressemblent aux générations passées du fait de l’éducation qui s’apparente souvent à un endoctrinement. Pour briser cette chaîne, il faut que le système soit centré sur les capacités de l’enfant de manière à ce qu’il puisse exprimer ses qualités les plus nobles et les fasse grandir.
L’éducation doit prendre en compte des figures humanistes et écologistes et baser leur enseignement sur leur approche.

La mauvaise habitude d’avoir quelque chose pour rien

La paresse n’est pas tant problématique si elle ne s’accompagnait pas d’autres maux. Vouloir éviter l’effort n’est pas fondamentalement mauvais, pourvu que ça nous pousse à être plus intelligent. Le principal souci, c’est qu’un paresseux a nécessairement besoin de choses pour vivre, comme tout un chacun et il souhaite même souvent satisfaire des désirs qui en soi pourraient être qualifiés de superficiels du fait même qu’ils ne sont pas liés à sa survie. Quand on est paresseux, on espère faire reposer sur les autres le poids de notre subsistance et bien plus que cela. On veut avoir quelque chose sans être en mesure de vouloir fournir quelque chose en retour. On enfreint la loi universelle de réciprocité. Quand on prend l’habitude de léser les autres, on perd notre dignité et on se transforme progressivement en une personne vile. L’effort est nécessaire à notre respectabilité. L’homme est un animal social, c’est pourquoi il est nécessaire qu’il soit capable d’offrir quelque chose aux autres, cela ne doit pas être matériel, mais ce doit être quelque chose, sinon, on appelle cela du vol.

Mieux comprendre les sociétés traditionnelles

Les sociétés préindustrielles, qu’elles soient asiatiques ou occidentales, reposent sur une réciprocité des échanges et une complémentarité. Au sommet de l’échelle sociale, nous trouvons les prêtres ou les moines, viennent ensuite les guerriers et les princes, puis les commerçants et les artisans et enfin les paysans. Chaque groupe donne quelque chose pour pouvoir profiter des bienfaits de l’intégration sociale. Les moines offrent leurs bénédictions alors que les guerriers et princes donnent leur sang en échange de la protection du groupe. Les artisans et commerçants offrent leurs compétences et leur ingéniosité alors que les paysans donnent leur sueur. Tout fonctionne relativement bien pourvu que chacun remplisse son contrat. Au-delà de la disette qui avait été un catalyseur de la Révolution française, il y a avant toute chose le refus de la classe guerrière (celle des nobles) de continuer à assumer leur pleine responsabilité dans l’art de la guerre. Le peuple mourait sur les champs de bataille pendant que les généraux (eux nobles) les regardaient au loin. L’esprit de sacrifice avait été perdu, ce qui a précipité le développement de ce sentiment d’injustice du fait que le contrat était rompu. Les nobles voulaient quelque chose sans rien sacrifier, une telle situation ne pouvait continuer.

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